C’est l’année où j’ai commencé l’université.
Le Canada a signé l’Accord de libre-échange nord-américain (ALÉNA). Les frontières semblaient s’effacer rapidement. Pour le mieux. La mondialisation était une promesse.
Je ne vivais pas comme une contradiction le fait de rêver à un Québec indépendant et de souhaiter voir les frontières s’effacer.
Pas plus aujourd’hui d’ailleurs.